Chantilly Arts et Elégance 2024 : la crème de la crème

Existe-t-il un meilleur écrin pour exposer les plus belles voitures de collection du monde que le parc du merveilleux château de Chantilly et ses 115 hectares de parc agrémentés de magnifiques pièces d’eau ? C’est dans ce cadre enchanteur qu’avait lieu le Chantilly Arts et Elégance dimanche dernier, un événement bisannuel qui fêtait ses 10 ans d’existence. Au petit matin, les nombreux visiteurs déjà présents devant les grilles ont pu découvrir des voitures incroyables encore recouvertes de rosée : Bugatti Type 35, Ferrari 250 GTO ou 250 TR, Porsche 550, Lamborghini Countach, Lotus 25 F1 et bien d’autres étaient là exposées au regard de tous et spécialement d’un jury chargé de décerner des prix à celle qui présentaient le plus d’intérêt en fonction de leur rareté, de leur état d’origine ou de la plus belle restauration. L’ambiance était à la contemplation et au respect de ces œuvres d’art sur roues qui ont écrit l’histoire de l’automobile, de 1910 au début des années 2000.

Existe-t-il un meilleur écrin pour exposer les plus belles voitures de collection du monde que le parc du merveilleux château de Chantilly et ses 115 hectares de parc agrémentés de magnifiques pièces d’eau ? C’est dans ce cadre enchanteur qu’avait lieu le Chantilly Arts et Elégance dimanche dernier, un événement bisannuel qui fêtait ses 10 ans d’existence. Au petit matin, les nombreux visiteurs déjà présents devant les grilles ont pu découvrir des voitures incroyables encore recouvertes de rosée : Bugatti Type 35, Ferrari 250 GTO ou 250 TR, Porsche 550, Lamborghini Countach, Lotus 25 F1 et bien d’autres étaient là exposées au regard de tous et spécialement d’un jury chargé de décerner des prix à celle qui présentaient le plus d’intérêt en fonction de leur rareté, de leur état d’origine ou de la plus belle restauration. L’ambiance était à la contemplation et au respect de ces œuvres d’art sur roues qui ont écrit l’histoire de l’automobile, de 1910 au début des années 2000.

Garden party
Chantilly Arts et Elégance a rassemblé également de nombreux clubs monomarque et multimarques qui exposaient leurs plus beaux véhicules. On peut citer l’Amicale Facel Vega qui rassemblait une bonne trentaine de voitures retraçant l’histoire de la firme française trop tôt disparue ou le Club Delahaye qui avait rassemblé quelques exemplaires arborant les plus belles robes de l’époque glorieuse des grandes carrosseries françaises. Dans un esprit « garden party » où les visiteurs eux-mêmes participaient au spectacle en s’habillant élégamment, le temps magnifique de cette journée de fin d’été a beaucoup joué dans l’ambiance surannée de cet événement décidément exceptionnel à plus d’un titre.

Activités variées
Au fur et à mesure de la journée, le public est devenu est de plus en plus dense, ce qui est normal vu que Peter Auto, organisateur de Chantilly Arts et Elégance attendaient quelques 20.000 personnes ! Cependant, comme l’espace disponible était immense, il était impossible de se marcher sur les pieds. L’esprit « déjeuner sur l’herbe » était renforcé par les nombreuses activités organisées ça avec des jeux de plein air (croquet, échecs géants, palets, etc.), des vols stationnaires en montgolfière ou encore la possibilité de naviguer sur le plus grand étang du parc. Pour déjeuner, les organisateurs avaient même prévu un grand pique-nique durant lequel il était possible de se procurer un panier rempli de bonnes victuailles, histoire de se sustenter avec élégance.

Lancia primé
Les constructeurs ont également répondu présents à cette journée : c’est le cas de Bugatti, Lancia, DS Alfa Romeo, McLaren ou Renault. Ils n’ont pas été oubliés par l’organisation qui a remis un prix au concept-car le plus intéressant. C’est finalement Lancia qui a été couronné avec la Pu+Ra HPE que l’on a vu parader dans le parc, preuve que cette démonstration de style est également capable de rouler. Cet événement qui n’a rien à envier aux meilleurs rendez-vous britanniques ou américain a une nouvelle fois démontré que la ferveur pour l’automobile de collection sous toutes ses formes n’est pas prête de s’éteindre, loin de là.