L’histoire d’amour de Renault avec les moteurs turbocompressés est bien connue. La Renault 5 Alpine Turbo fait ses débuts en septembre 1981. Pour pimenter la formule atmosphérique, déjà un succès commercial avec plus de 56 000 exemplaires produits, Renault choisit la voie la plus logique : à la fois séduire la clientèle des courses qui avait assisté aux premières victoires des monoplaces françaises suralimentées jaunes en Formule 1, et augmenter facilement la puissance et agacer la concurrence, entre temps sensible à cette solution. L'adoption d'une Garrett refroidie par eau Grâce au turbocompresseur T3 (mais sans refroidisseur intermédiaire), le moteur quatre cylindres de 1 397 cm³ développe 110 ch, mais à 6 000 tr/min au lieu de 6 400 tr/min. C'est encore suffisant pour atteindre une vitesse de pointe de 185 km/h et accélérer de 0 à 100 km/h en seulement 9,1 secondes (le poids à vide de la voiture n'est que de 870 kg). a fait l'objet d'une restauration conservatrice par le propriétaire actuel et est dans un état impeccable et en parfait état de fonctionnement. Il est enregistré auprès de l'ASI et a reçu une Gold Plate, ne nécessitant aucun travail. C'est un véhicule d'exposition.